300 Jours à la Havane
Il y a une sorte de syndrome qui attaque toujours le voyageur qui met les pieds à Cuba et qu'il ne comprendra qu'après un certain temps. C’est un virus qui, une fois inoculé, Il ne peut que grandir pour nous dévorer. Trop de gens en souffrent. Moi aussi, et irréparablement. Et ça s'appelle la nostalgie.